Decouverte De LAutre Sexe (Suite 4)
(A lattention des éventuels lecteurs, je mexcuse pour les fautes de frappe et dorthographe. En effet, je ne me relis pas. Cest mal me direz vous mais je prends tellement de plaisir à écrire que je suis incapable de le faire. Jespère que cela ne gâchera pas votre lecture et, surtout, que vous prendrez autant de plaisir à les lire que jai à les écrire et surtout que jaurais eu du plaisir à les vivre. Oui, ce sont mes fantasmes, cest comme ça que jaimerais que cela se passe pour moi, un homme doux, un peu directif amis qui sache ce quil faut pour moi, qui maide à me travestir et qui sait mamener à me donner à lui.)
Dans la salle de bain je me rendis compte que mon string était trempé devant comme derrière. Ce petit bout de tissu contenait une partie notre jouissance mutuelle. Je ne pus mempêcher de le sentir pour humer lodeur de nos plaisirs. La nuisette nétait pas dans un meilleur état. Jôtais la perruque, les bijoux, le porte-jarretelles et les bas. Au passage, je me félicitais davoir su les accrocher comme il faut car ils avaient tenus la distance face aux assauts de Philippe. Cette pensée me donna une érection immédiate et je me jetais sous la douche pour me calmer.
Douche que je pris très chaude et me savonnant abondamment. Insistant sur mon sexe, mes fesses, entre mes fesses. A nouveau, cette sensation de me sentir lisse sur ces zones me fit de leffet et je bandais à nouveau. « Non mais cest pas vrai vari, il faut que je me calme. On dirait que je suis en chaleur. ». Mais nétait-ce pas le cas.
Il veut que je sois Elodie pour la nuit alors ok, je suis prête. Prête ? Oui, je serai Elodie cette nuit, jen ai envie, il me la donnée cette envie, pour une fois, de me sentir femme, désirée, aimée par son amant. Est-ce le signe dun refoulement quelconque ? Je men fous il sera bien assez tôt pour une psychanalyse. Je me rase soigneusement, remet un peu de fond teint et du rouge à lèvre.
Je retournais à la salle de bain et trouvais des lingettes. De retour dans la chambre, je me glissais sous la couette et venais me coller contre son dos. Ma main découvrit rapidement quil était le sexe à lair et je pris une lingette pour le nettoyer. Se faisant jai senti son sexe grossir, parfait me suis-dit ce ne sera que plus facile. Je lai ainsi astiqué, un peu trop peut être car il a fini par jouir dans la lingette. Tout en souriant de ce moment, jai pris une autre pour nettoyer ce nouvel « accident ». Il ne sest même pas réveillé ! Jai fini pas mendormir contre lui, la main sur son sexe au repos cette fois.
Je me suis réveillée (oui je parle au féminin, je suis Elodie cette nuit) en sortant dun rêve étrange, Philippe me faisait lamour en me caressant le clitoris. Mon gland qui dépassait du string avait pris laspect dun clitoris pointant entre les lèvres dune femme. En émergeant totalement de mon rêve je pris conscience que : 1/ Philippe était en train de sactiver entre mes fesses et quil me sodomisait doucement, 2/ que des doigts me titillaient le gland qui dépassait du string. A cette découverte et aus sensations associées, je refermais les yeux pour mabandonner à ces deux caresses.
Tout à mon plaisir, je redescendais sur terre doucement pour sentir de nouvelles vagues de plaisir. Il mavait remonté les cuisses et sa langue avait quitté mon clito pour sexe quil était en train de titiller du bout de la langue. Je recommençais à gémir et me tortiller sous ces caresses. Je lui pris la tête pour léloigner en lui demandant pitié, lui disant que jallais mourir. Il me répondis que cétait une belle mort en recommençant, avec un grand sourire, à me bouffer le sexe (désolée, il ny a pas dautres mots).
Je ne sais pas combien de temps cela a duré, jai peut être perdu connaissance un moment par trop de sensations, par trop de plaisir. Jai repris un peu de conscience quand ses caresses ont cessé et que je lai senti me pénétrer. En ouvrant les yeux, je lai vu qui me regardait avec un grand sourire. Il avait mes jambes sur ces épaules et il mattira à lui les fesses dépassant du bord du lit, pour une sodomie profonde qui marracha un cri de plaisir.
Cest les yeux dans les yeux quil me dit que javis un cul denfer, quil était fait pour sa queue, que jamais il navait rencontré un aussi beau et bon coup que moi.
Il sest alors écroulé sur moi et après un long et tendre baiser il ma dit quil adorait être avec moi, Elodie.
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